El dos y el nueve de junio acogimos al genialísimo autor de cómic Alfonso Zapico para un taller de cómic con nuestra clase de bachibac de 2nde Gaudí.
El proyecto con él se titula « literatura y cómic » que se proponía adaptar fragmentos famosos de obras literarias clásicas en cómic.
Tout d’abord nous avons fait des recherches sur plusieurs œuvres classiques espagnoles et hispano-américaines, leurs auteurs et leur trame narrative. Nous devions fabriquer un résumé d’environ 80 mots de plusieurs d’entre elles.
Lors de ces recherches, on s’est rendu compte que les titres de romans ne sont pas toujours si évocateurs !
Ensuite, nous avons fait jouer la démocratie pour savoir quelles œuvres nous voulions adapter en BD ; nous avons voté ! Majorité absolue pour :
Don Quijote de Cervantes
Bodas de sangre de Federico García Lorca
La casa de los espíritus de Isabel Allende
La sombra del viento de Carlos Luis Zafón
Nous avons formé de groupes de 4 et avons commencé l’étude linéaire et littéraire de l’œuvre que nous avions choisi avec Mme Buigues. Nous avons dégagé le plan de notre extrait de texte pour ensuite imaginer un « story bord ». Les textes donnent parfois beaucoup d’indices descriptifs pour pouvoir dessiner les personnages mais parfois, il faut tout imaginer à partir des ambiances, des lieux et de notre ressenti…
¿Quiénes son los personajes ? ¿ Dónde y cuándo pasa la escena ? : las preguntas habituales cobran más sentido a la hora de dibujarlas.
¿Qué visten los personajes según la época, la clase social… ? Cómo dibujar Rocinante, el caballo de Don Quijote o « el cementerio de los libros olvidados » o a una mujer que « no habla nunca y que es suave cómo la lana » ? ¿Quién era Barrabas ?
Et puis, après quelques coups de pouces d’Alfonso, nous avons pris nos crayons de couleur, « nuestras pinturas », remplis les bulles « los bocadillos » et chacun a fait de son mieux, nous avons beaucoup ri en voyant que certains sont meilleurs pour comprendre les textes que pour dessiner !!! Nous avons passé un très bon moment tous ensemble. Le résultat n’est pas mal, non ? Comme dit l’expression espagnole que nous a apprise Alfonso « ¡No tenemos abuela ! » ; nous n’avons pas de grand mère, pas de grand mère parce que nous nous faisons les compliments nous-même !