mémoire animée

Quel mémoire entretient un lycéen d’aujourd’hui de la Grande guerre ?
Comment les objets de mémoire collective que sont les monuments aux morts peuvent-ils encore nous parler ? La réponse en un film d’animation réalisé en papiers découpés :

Partir des souvenirs qu’un groupe décide au cours du temps de fixer et de rendre tangibles, c’est partir de la vision qu’un groupe possède de son intégrité ou de son unité.


Après de nombreuses étapes — visites d’exposition (festival de photoreportage de Barro et découverte du site de l’Abréjement (nord charente), musée du papier et archives municipales), voyage dans la Somme, atelier gravure (école d’art du GrandAngoulême) que vous pourrez retrouver sur ce blog :

http://memoireanimee.blogspot.com/2018/11/

La commémoration suppose aussi que chacun puisse individuellement faire l’expérience d’un souvenir de telle manière que son inscription présente ou future dans le groupe soit enrichie. ” (…) Là réside la différence entre une mémoire collective et une mémoire commune. La première repose sur une communion, la seconde, sur un partage. Seul le second type transite par des qualités esthétiques. ” écrit Joëlle Zask, en mars 2007 lors d’un colloque où se pose le “pourquoi fait-on appel à l’art (le plus souvent) pour procéder à une commémoration?”

l’attente de Marguerite

http://joelle.zask.over-blog.com/article-31847400.html

C’est ainsi que la classe de 1L1 vous propose cet objet hybride, bricolé de toute part, aboutissement de leur travail de l’année, où des individus s’accordent sur un récit dans lequel ils se reconnaissent !

Mme Desroche et Mme Renault