sortie Festival BarrObjectif et découverte du domaine de l’Abréjement

Ce jeudi 21 septembre les plasticiens de terminale et les 1ère spécialité HIDA ont bravé les intempéries pour parcourir les rues du village de Barro qui accueille chaque année un Festival de photoreportage.

 

 

 

 

 

 

 

 

Didier Bizet, Baby Boom

Avec une popularité grandissante sur toute la planète, le reborn, malgré une image médiatique négative, apparaît pour beaucoup comme un remède à la solitude.

 

 

 

 

 

Alain Keler, Motel Paradiso Chaos, (la disparition de la Yougoslavie)

“mais tout ombre, en dernier lieu, est pourtant aussi fille de la lumière et seul celui qui a connu la clarté et les ténèbres, la guerre et la paix, la grandeur et la décadence, a vraiment vécu.” Stefan Zweig, Souvenir d’un européen

 

Avec un festival à l’eau, le départ vers le Domaine de l’Abréjement semblait quelque peu compromis.

Or, une éclaircie nous a permis d’apprécier dans toute leur (dé)mesure, les œuvres du Parc.

Christian Lapie, Le Pré de l’Entre deux, 2001, chênes tombés lors de la tempête de 1999, photo d’Ambre P

 

 

 

La Forêt du sculpteur américain Joël Shapiro symbolise le déséquilibre d’une chute figée pour l’éternité, photo d’Abdallah

Andy Goldsworthy, Coeurs de chênes, 2001, branches coudées de chênes installées sans autre système d’attache qu’un jeu d’entrelacs

Andy Goldsworthy, Coeurs de chênes, 2001, photographies d’Abdallah

 

 

 

 

 

 

 

 

La troisième œuvre d’Andy Goldsworthy nous plonge dans un bain de lumière malgré la grisaille !

A Goldsworthy, Pool of Light, photo d’Ambre P